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Revue de presse consacrée aux oeuvres de Jean-Claude Matteucci

Ci-dessous, les articles parus :

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Var Matin 24/12/1997

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Var Matin, lundi 15/12/97

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Article de Var Matin paru à La Seyne / mer le 19/11/1993

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Article de Var Matin paru en décembre 1991

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Article paru dans le "Badische Zeitung", 4 septembre 1990 Inauguration d’une exposition à Herbolzheim   

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Article de Var Matin paru à La Seyne / mer le 20/06/89

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Article de Var Matin du 24/12/1997

Matteucci à la villa

La première exposition picturale du Seynois Jean-Claude Matteucci sur ses terres semble bel et bien - et à juste raison  - faire son lot d'émules. En effet, nombreux sont ceux, amis et simples visiteurs d'un jour, qui apprécient à juste titre le talent de cet ancien de la Navale pour qui le dessin et la peinture n'ont désormais plus de secret. Grâce à une heureuse initiative des Affaires culturelles locales et des animatrices de l'espace bibliothèque, Jean-Claude peut ainsi nous présenter avec un plaisir non dissimule et disons-le partagé dix années de travail pictural de très haute facture. Un travail ou plus précisément une œuvre baignée d une sorte d ivresse poétique et d une évidente forme de nostalgie. En témoigne cette remarquable flotte de navires mais également de barques de pêcheurs (seynois) réalisée dans l'esprit du cubisme, frôlant parfois une forme d'abstraction. Dans ces œuvres prédominent de jolis coloris bleus, mauves et rouges qui laissent deviner en filigrane un âpre combat fratricide en faveur de la seule et unique beauté d'un ensemble de parfaite composition.

Et puis, les techniques se suivent et ne se ressemblent pas  pour l'artiste. Elles relèvent d'une certaine expérimentation et d'une quête réelle de style, de personnalisation de l'oeuvre. C'est ainsi que pastels, techniques mixtes, huiles ou crayons et stabylos jouent de leur pouvoir de séduction dans une symbiose absolue. Il s'agit pour Jean-Claude Matteucci de parfaire les féeries naturelles et d'en extraire l'essence même de la sensualité. La longue galerie de portraits féminins donne toute l'amplitude à cette première exposition. La femme est ici dévoilée ans tous ses états de grâce. Elle est traitée avec délicatesse et maestria en quelques coups de crayon rapidement fleuris de mille et une couleurs. Simple et efficace, dirons-nous, avec au passage une puissance, une richesse indéniable, et une autonomie naissante. Bref, avec J.-C. Matteucci, il est question de rythme, de vie, de couleurs et d'équilibre, il est question d'une peinture pleine d'émoi et de souvenances, dans laquelle l'artiste s'engage totalement, en tant que peintre, en tant qu'artiste à part entière. D.B.

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bulletVar Matin, lundi 15/12/97

Une première pour Matteucci

Jean-Claude Matteucci expose depuis quelques jours au niveau bibliothèque de la villa Tamaris. Il nous présente de très belle toiles, en partie autour de la thématique de la ferme, marquées par un véritable jaillissement de coloris.

C'est la toute première fois .que Jean-Claude Matteucci expose à La Seyne, sa ville natale, afin de présenter dix années de peinture, dix années marquées notamment par une recherche de l'esthétisme et par la mise en harmonie d'un bouquet de couleurs particulièrement attirant. C'est donc au niveau bibliothèque que Jean-Claude a accroché ses toiles de formats moyens et mis en valeur une décennie de création baignée d'une sorte d'ivresse poétique mais encore de nostalgie. En témoigne cette remarquable série de navires réalisée dans l'esprit du cubisme, qui retrace en quelque sorte une longue partie de la vie de l'artiste.

Il faut bien dire que pour cet, ancien de la navale, ses œuvres, gouaches, pastels,  techniques mixtes, huiles... expriment une jubilation incantatoire et une pléiade de souvenances. Les coloris issus d'un savant triturage s'agencent et parfois même se heurtent à la toile, plutôt au papier (support favori, avec le bois, de l'artiste), produisant un double effet de surprise et d'agrément. Dans ces travaux tout à fait intéressants, les bleus et mauves dominent les rouges et les ocres, laissant deviner en filigrane un âpre combat fratricide en faveur de la seule et unique beauté d'un ensemble de parfaite composition.

Simple et efficace

Avec Jean-Claude Matteucci, la mixité des techniques s'avère prépondérante et la fluidité des formes de plus en plus nette, Dans un univers artistique souvent pâle et délavé à satiété, ce choc de sincérité et d'authenticité picturale se veut avant toute chose comme étant l'heureux équilibre entre le doute et la certitude, entre la recherche permanente et l'affirmation d'un style à travers une foultitude d'influences. Peindre pour le plaisir mais aussi afin d'affirmer une identité propre, tel est l'objectif de notre artiste local qui, au sein de sa galerie d'images, met en exergue et de manière criante la femme dans tous ses états de grâce. «La femme fond rouge», «la femme fond gris», «la femme affiche», «la femme bleue», «la femme blanche»... Autant de titres que de délicieux portraits réalisés en quelques traits, puis mâchurés de mille et une couleurs. C'est simple et ô combien efficace comme une esquisse d'un Cocteau que l'on aurait coloriée «au commencement de sa finalité». Bref, des coques aux croupes caressées par la luminosité d'un soleil torride, les œuvres de Matteucci offrent un réel régal pour l'œil scrutateur avec, en prime, ce paradoxe de l'éternel la dualité peinture-dessin qui dévoile à peine le secret allégorique de l'espace sensible d'un artiste en totale ascension et pour lequel créer procure, de façon constante, une sorte de bonheur étrange mêlé d'une évidente sérénité. B.O.

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Article de Var Matin paru à La Seyne / mer le 19/11/1993

La B.N.P. prend des couleurs

Jean-Claude Matteucci a accroché ses oeuvres dans les locaux de l'agence bancaire locale

« Au coeur de l'événement », tel est l'intitulé de certaines initiatives, présentes et à venir, orchestrées depuis quelques temps par l'agence locale de la Banque Nationale de Paris qui présente durant tout le mois de décembre, les œuvres toutes en couleurs, d'un Seynois nommé Jean-Claude Matteucci... A découvrir.

Jean-Claude Matteucci : une forme de respiration.

Voici du neuf dans la politique de la B.N.P. locale. En effet, la toute nouvelle direction se veut ouverte aux talents, jeunes et moins jeunes, de la région. Elle propose désormais avec une certaine régularité des expositions picturales, photographiques et de volumes au nombreux public visiteur et plus particulièrement à sa clientèle. Initiative de bon aloi, à vocation pédagogique, qui permettra à plus de trois cents personnes par jour de découvrir les œuvres parfois naïves d'un Seynois particulièrement marqué par une longue période de sa vie passée dans l'antre des ex-chantiers navals. Jean-Claude Matteucci semble viser en permanence la transmission du rêve et de la réalité. Ses œuvres sont systématiquement colorées et l'expression singulière de l'artiste nous plonge dans un univers décalé, un univers de beauté, d'action, de luminosité et de fraîcheur... symboles d'une évidente soif de vivre. Ces œuvres fonctionnent bien dans l'éthique d'un cubisme analytique : elles ne sont pas conçues de fantasmagoriques effets de matière. Seules, une grande habileté et une prenante sensibilité sont les essences de cette création, flirtant parfois avec l'abstraction.
Une vue des défunts chantiers, le port de Toulon, quelques
marines fort originales, des natures mortes moins attrayantes, de superbes Arlésiennes, ou bien encore de lointains chalutiers glissent insensiblement et avec une grande innocence, d'une esthétique flagrante à une pratique quasi caricaturale et pour le moins insolite. L'acquis du passé, remis en question de par ce bouillonnement permanent, porteur de bien des messages, est révélateur au parcours de la quinzaine de toiles offertes aux yeux malins d'un public agréablement
surpris. Jean-Claude Matteucci se veut libre et conquérant d'espaces vierges et nouveaux, sa création est une forme de profonde respiration, d'incessante expérimentation, face à l'asphyxie d'un quotidien inextricable et pesant.

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Article de Var Matin paru en décembre 1991

Etonner pour plaire

Jean-Claude Matteucci est à la Maison du patrimoine pour sa première exposition dans la région. Plusieurs styles, de la couleur et du mouvement

Le premier sentiment à la vue des toiles du nouveau peintre. Jean-Claude Matteucci, c'est l'étonnement... Beaucoup de couleur, de mouvement,mais aussi des styles divers, des méthodes différentes. De ses débuts en 1989, on se souvient peut-être de la couverture du guide touristique de La ,Seyne, du fort Balaguier, fleuron de sa ville natale ! Vraiment des débuts puisqu'il a tenu un pinceau pour la première fois deux ans auparavant - après les premières armes à l'école comme tous les enfants ! - comme moyen de communication avec un ami hospitalisé.
« Plutôt que d'écrire, pourquoi ne pas lui faire un dessin ?... » Et c'est là que naquit la révélation. Depuis, l'oeuvre de Jean-Claude Matteucci n'a cessé d'évoluer. De La Camargue à la Bretagne, des marchés colorés africains aux grandes fresques de la Grèce antique, la variété de ses thèmes ne cesse d'étonner !Plusieurs fois, le Seynois a exposé ses œuvres en Haute-Provence -d'où est originaire son épouse - en Allemagne en particulier à Herbolzheim, ville voisine de Emmendingen bien connue des Six-Fournais...Mais l'exposition que l'on peut voir depuis samedi à la Maison du Patrimoine au Brusc est la première dans la région. L'oeuvre de cet artiste pas comme les autres est spontanée, sans concession d'aucune sorte. Autodidacte, son pinceau bien habile parcourt la toile au gré de son inspiration et des saisons. Huile où gouache, il semble peindre toujours avec le même bonheur, le même naturel mais toujours avec le même souci de la couleur et du mouvement.

Pour cette exposition - qui se tient jusqu'au 29 décembre - c'est essentiellement la Provence avec sa bouillabaisse - une merveille !«-Ses barques légères qui flottent dans le port de Bandol, la Sainte-Victoire, les paysages arides de la Haute-Provence, mais aussi ses personnages attachants, et bien sûr ses tendres bouquets de rosés et de coquelicots délicats, qu'il a choisi de présenter à tous les amis de la peinture. Qui ne seront certainement pas déçus d'une exposition aussi étonnante ! D.M.

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Article paru dans le "Badische Zeitung", 4 septembre 1990
Inauguration d’une exposition à Herbolzheim 
Traduction de l'allemand par Annie Molinet

La culture comme lien pour l’entente entre les peuples 

Le peintre sisteronais J. C. Matteucci présente des peintures impressionnantes dans la ville de Galura Herbolzheim

La ville, l’association des citoyens pour le partenariat de jumelage inter villes et le cercle culturel de Herbolzheim conviaient au vernissage de l’exposition du peintre sisteronnais J.C. Matteucci ainsi qu’à une réception pour les amis du tennis de Sisteron. Tout ce qui avait rang et nom dans la ville de Galura s’est retrouvé pour cet événement.
« Nouer des contacts personnels est le moyen le plus efficace pour mettre en route l’entente des peuples ». C’est par ces paroles que le maire Hans-Peter Jülg a introduit son discours d’accueil.  Il a souligné que le club de tennis, notamment, a noué depuis plus de dix ans des contacts dont beaucoup se sont transformés entre-temps en véritables amitiés. Monsieur le Maire Jülg a adressé des paroles de bienvenue spéciales à l’artiste peintre J.C. Matteucci qui a apporté ses œuvres à Herbolzheim pour les présenter à la population.
Hans Peter Baumann a présenté ses salutations au nom de l’association des citoyens pour le jumelage des villes et Richard Obert a salué toute l’assistance au nom du cercle culturel. On échangea des cadeaux et de tous côtés on souhaita un grand succès à l’exposition.
Au cours du vernissage, Herbert Oesterle dressa un portrait détaillé de l’artiste. « En J.C. Matteucci, c’est un ancien ami sisteronnais qui nous rend visite, et qui, en plus de ses amis du tennis et son épouse Yolande, pleine de tempérament, nous a apporté 45 tableaux aux techniques variées, crées au cours de ces quatre dernières années. » Comment Matteucci est-il arrivé à la peinture ? Une entaille dans son quotidien professionnel donnèrent à ce quadragénaire le loisir de s’intéresser à beaucoup de choses. Il s’essaya tout d’abord aux caricatures pour rendre plus supportable un séjour en hôpital. Un talent se révélait ! Sur le conseil de ses amis, il se tourna vers la peinture. Cependant, son inscription à l’Académie des Beaux-Arts de Toulon, sa ville natale, ne fut qu’épisodique. Pour cet artiste plein de joie de vivre, les us et coutumes y étaient bien trop secs.  C’est ainsi qu’il resta essentiellement autodidacte et suivit sa propre voie. Il dévora les livres sur les différentes techniques de la peinture et visita assidûment les galeries et les musées.
Il se rend dans un paysage, observe le coin et les gens et trouve dans les êtres, les fleurs et les arbres qui lui procurent les sujets qui stimulent son imagination. Il les projette directement sur la toile ou le papier au moyen de l’huile ou de la gouache, sans esquisse préalable. Ce sont plus ou moins des réactions spontanées.  En Haute-Provence, il voit chaque jour un autre ciel, d’autres arbres, vignobles, lavandes et fleurs. C’est ainsi que prennent corps un grand nombre de peintures, qui sont autant de miroirs de son âme et de son tempérament. La façon dont il peint le paysage et les silhouettes, c’est ainsi qu’il les voit. La liberté artistique lui permet de représenter ses sujets à sa façon.
Dans le domaine de la création artistique, son épouse Yolande est à la fois sa conseillère, sa compagne et une juge sévère, pour ne pas dire une critique. Depuis un an environ, Matteucci se consacre de plus en plus à la nature morte. Au début de cette année, l’artiste a été attiré par la Camargue. C’est là que sont crées des paysages avec taureaux., essentiellement en bleu, Au printemps sa création s’oriente vers la nature qui s’éveille. Au cours de l’été, il a exposé ses œuvres à Séderon et à Montbrun. L’automne dernier, il a eu l’occasion de les présenter à Bandol et à Marseille. Le voilà maintenant à Herbolzheim où il présente un extrait de sa création.
« Les œuvres de Matteucci sont l’expression de la vitalité de sa façon d’être, et du plaisir qu’il a à utiliser les couleurs et des formes expressives. Il ne se perd pas en détails. L’effet d’ensemble d’un tableau et ce qu’il exprime, c’est cela qui est essentiel pour lui. Les peintures laissent à celui qui les contemple suffisamment d’espace à l’imagination, aux rêves et aux nostalgies. »
En parcourant l’exposition on découvre les liens étroits qui unissent qui unissent l’artiste à la nature. Le mistral omniprésent, il a su si bien le capturer, depuis le souffle le plus léger jusqu’à la tempête impétueuse, qu’on a presque l’impression de sentir l’air s’agiter. Les peintures s’animent, on s’attend à voir tomber les pétales des fleurs de pommiers ou que les promeneurs fassent un pas en avant dans l’instant qui suit. Les pêcheurs s’affairent autour de leurs barques, sur la rive. Les oliviers ploient sous le vent avec une certaine lourdeur. C’est le bleu qui est la couleur dominante, comme le ciel au-dessus de son pays d’origine. Les compositions florales éclatent de couleurs. Matteucci a un sens aigu des  couleurs en général et sait les assortir remarquablement, que ce soit à l’aquarelle ou à l’huile. Ses aquarelles semblent embaumer et prendre vie intensément.
Les œuvres de Matteucci peuvent encore être vues jusqu’au 9 septembre, en semaine de 16 à 18 heures et le dimanche à partir de 11 heures à la nouvelle mairie, Hauptstrasse 28.

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Article de Var Matin paru à La Seyne / mer le 20/06/89

Mise en beauté pour l'été 89

Tirée à 12.000 exemplaires, la nouvelle plaquette de l'office du tourisme en ambassade en France et à l'étranger.

L'office du tourisme a présenté jeudi dernier sa plaquette 1989. Une arrivée plutôt tardive, comme le regretta le président de l'office, Pierre Fiol (il paraît que c'est la faute à l'imprimeur !)
Cette naissance, attendue, n'en a été que plus fêtée. Il faut dire que le nouveau-né se présente bien avec sa couverture glacée sur laquelle est reproduit un tableau du peintre J.-C. Matteucci, représentant la tour du musée naval de Balaguier (un des hauts lieux de l'épopée napoléonienne) et son plan d'eau. Puis s'offrent quarante-huit pages à feuilleter. Un parcours en anecdotes, paysages, lieux historiques, hommes célèbres, qui vous font tenir l'histoire et surtout la beauté de La Seyne entre vos mains brunies au soleil de la ville « la plus ensoleillée de France » (c'est écrit dans la plaquette).

BONNES ADRESSES ET PROMENADES

Les Sablettes et ses plages, Saint-Elme et son port (beau quand il n'étouffe pas sous les algues), Tamaris avec le souvenir de Georges Sand et de Michel Pacha, Mar-Vivo, Fabrégas se présentent aux promeneurs et aux amateurs de sports nautiques.
Il y a aussi le musée naval de Balaguier et les souvenirs du temps des galères, du bagne et de la voile et de la grande marine de l'époque coloniale.
Les renseignements utiles abondent. On y trouve le calendrier des fêtes et des foires, les marchés, les lieux de culte. Il y a aussi les bonnes adresses du bien manger, bien dormir et bien d'autres choses. Ainsi qu'un plan de la commune qui permettra aux visiteurs de l'été de ne pas s'égarer. La plaquette a été tirée à 12000 exemplaires. Elle sera distribuée aux annonceurs, clubs, aux associations et aux mairies (3000) dans les foires (1000), en France et à l'étranger (500) et à l'Office de Tourisme (1000). J.B.

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